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La CléOfée

DOULA 

Artiste&Créatrice

Genève & France Voisine

+33(0)6 529 117 24 

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Doulasage



 

 

j'ai 35 ans et j'ai exercé mon métier de sage-femme depuis 10 ans.

 

Je suis maman de 2 enfants de 7 et 11 ans. 

 

Après une expérience hospitalière dans différents services (maternités Françaises et Suisses)
ainsi qu'une très belle aventure

en Maison de Naissance et à domicile en Suisse,

j'ai expérimenté 

l'exercice de sage-femme en France,

dans mon cabinet de 2016 à 2021.

Je reviens aujourd'hui embrasser le statut de DOULA, accompagner des naissances,

au plus près de mes aspirations

 

Suite à ma formation initiale, j'ai suivi de nombreux cursus d'enseignement complémentaires :

 afin de garder mes connaissances à jour et d'entretenir ma première passion... : mon métier !

 

 PARCOURS FORMATION :

 

-Accouchement physiologique (formations Jacqueline Lavillonière, séminaire Quantik Mama 2019)

- Ecole Quantik Doula (2021-22) : en cours

- Transmission Femmes, naissance, Pré et post natal

par une sage-femme traditionnelle Mexicaine (Mayra Martinez 2021)

- Transmission rebozo (Marie Bardel 2020)

- La transformation Placentaire (Julie Amanda 2020)

 

-Gynécologie de prévention et contraception (médic formation 2016)

- Pharmacologie (médic formation 2016)

- Homéopathie : (fondamentaux et gynécologie-obstétrique CEDH 2017)

- Symptothermie moderne autonome : gestion naturelle de la fertilité (Claire Michelin 2021)

Formation en Gyn'écologie holistique (2022) (Gyn'émotion, M.P. Pérès)

 

- Hypnose initiation (ADCO, 2017) 

- Yoga prénatal (AYA formation 2018)

- Rééducation du périnée (médic formation 2016)

- Psychosexologie Positive, (Yves Psalti 2018)

- Formation Ariane seccia (2017)

 

- Allaitement : hyperlactation, hypolactation, allaitement et sommeil mère/enfant,

accompagner le non-allaitement, douleurs et mises au sein (C. Dalla Lana 2017.18.19)

- Suivi pédiatrique (Céline Dalla lana, 2021)

- Examen du nouveau-né (médic formation 2018)

 

Pour en savoir plus sur mon cheminement vers mon activité actuelle,

je vous laisse si vous le souhaitez,

lire ce récit très personnel

 

LA CléOfée ?

Ou comment ai-je tissé ma nouvelle tenue de DOULA,

douce, chaleureuse et colorée

au sein de ma passion pour les créations Artistiques

 

Me voilà ! Après mes tribulations de sages-femmes françaises aux pratiques alternatives, doucement renaitre de mes cendres, retrouver une place…

 

Me voilà (ré)incarnée en DOULA, cette femme que j’étais déjà au fond de moi depuis si longtemps avec un naturel finalement évident, je suis sage-femme, je suis doula, je suis les 2 !

 

La DOULA : celle qui se rend disponible, celle qui écoute, celle qui soutien.

Cette Femme qui offre sa présence pour porter l’espace d’une confidence comme celle d’une naissance, qui offre ses bras pour bercer, son épaule pour pleurer, son cœur pour partager, ses expériences à témoigner, ses connaissances pour informer.

 

J’ai toujours exercé avec ces valeurs de me mettre « à disposition » des familles dans un souci de bienveillance, de non jugement, de respect.

 

Ce Voyage qui fait de moi une DOULA aujourd’hui a commencé dans la petite enfance.

Haute comme 3 pommes, je mime déjà si bien les gestes des mamans…

Loin d’être un simple jeu, je m’adonne très tôt et avec le soucis du réalisme aux rituels du « prendre soin ». D’abord aux nouveaux nés, encore simples poupées, je découvre le bonheur pour moi de materner.

Chuchoter à l’oreille des bébés, bercer avec amour, sentir cet attachement, masser pour relaxer, baigner pour apaiser, donner et recevoir… sentir la gratitude d’être là pour quelqu’un.

Ce plaisir inouï d’apporter du bien être, quasiment cellulaire, vital, m’a suivi toute ma vie, m’a joué quelques tours.

 

Sage-femme en 2012, je ressors grandi de ces années où je deviens tout à la fois professionnelle et Maman !

Quelle aventure extraordinaire ! Je ressens encore la joie de cette promesse d’épouser ce métier, que j’ai su tenir malgré ma maternité vécu en parallèle.

Extraordinaire métamorphose que de devenir maman, pour de vrai, ce rêve de toujours d’accueillir une petite fille tant espérée.

Alitée des mois, pleine de peurs de la perdre, de pleurs de joie, de larmes de fatigue, le miracle de tenir mon bébé dans mes bras a lieu !

A l’école de Genève, ces 5 années durant, j’ai trouvé l’approche qui me correspondait : l’acquisition d’un savoir faire médical sans occulter l’importance du savoir être en relation.

Une école où l’on enseigne les bonnes pratiques obstétricales et l’état d’esprit holistique dans lequel l’humain est un tout, indissociable

 

Puis je passe quelques mois à m’occuper des mères et des bébés à la maternité universitaire. Mais QUELLE frustration de n’accompagner qu’un petit pan de l’aventure que vivent les familles. Dans ces grands centres, tout est sectorisé. La sensation de créer ces liens en pointillés, de guider en coup de vent n’a pas permis mon épanouissement.

Je voulais plus. Plus de respect des rythmes, l’instauration de liens de confiance durables, plus d’autonomie.

Et cette curiosité de plus en plus dévorante d’assister à des naissances dans la chaleur d’une maison, dans l’intimité d’un foyer.

 

En parallèle j’avais vécu la naissance de ma fille qui fut aussi initiatique pour moi que classique en terme « d’accouchement » : à la française au XXIème siècle.

Comprenez : sous monitoring, à moitié anesthésiée, livrés à nous même, le traditionnel examen 1fois l’heure, la rupture de la poche instrumentale puis poussée périlleuse en position sur le dos, mollets dans des jambières etc)

Heureusement, l’extase de devenir mère et les moindres séquelles ont permis d’intégrer l’événement. Cette vague d’émerveillement, de fierté délicieuse de rencontrer ce petit fruit mur à souhait, trésor de délicatesse. Un allaitement long et merveilleux s’en est suivi pour notre plus grand plaisir.

Professionnellement, j’ai alors eu la chance de vivre une immersion d'un an à la maison de Naissance des Dix Lunes et d’y être compagnonnée par une sage femme d’expérience. Ce fut pour moi un tournant, une révélation.

Je pense qu’à compter de ce moment là, grâce à cette sensation d’être alignée avec mes valeurs et honorée d’assister à ces enfantements naturels, tout s’est éclairé.

J’ai d’ailleurs donné naissance à mon fils au cœur de notre petit salon dans la chaleur de l’eau et la simplicité d’une arrivée plutôt pressée. Un souvenir fondateur et indélébile en est resté gravé. Découverte de capacités insoupçonnées : mon corps, comme celui des autres femmes, il sait faire ! Idyllique. Je suis encore ébahie de cette puissance incontrôlable de mon corps qui pousse mon bébé, de mon bébé qui se met au monde : magique. C’est animal, presque sauvage, mais tellement beau !

 

J’ai enfin trouvé un SENS d’une profondeur inattendue à ma profession, ou plutôt à ce que je voulais qu’elle soit. Proposer un suivi global aux familles. A savoir de la période pré-conceptionnelle, dès que les couples ressentent le besoin d’être guidés, vivre la naissance ensemble et jusqu’à l’accompagnement post natal le temps qu’ils demandent d’être épaulés (souvent plusieurs mois). Je prends le temps, nous prenons le temps. Celui de nous rencontrer, celui de se connaître.

J’entre dans cette intimité avérée nécessaire pour une sécurité optimale.

De cette manière, je rends ma sensibilité plus accrue. Les mois passants, au fil des rencontres, j'affute ma réceptivité à la norme pour cette femme enceinte et le bébé qu’elle porte.

J’ai été transcendée par les naissances auxquelles j’ai eu l’immense chance d’assister.

Voir de mes yeux des femmes mettre au monde leur bébé dans leur pleine puissance, sous leur propre autorité hormonale fut absolument fantastique. Pas de perfusion de routine, de monitoring en continu, de lumière vive, de lit mécanisé, de blouse impersonnelle. Quand on a été si souvent témoin de difficultés en salle d’accouchement à l’hôpital, il est si troublant de voir ô combien les choses se passent simplement quand on laisse faire :

Elle est là, devant moi, ronde comme la lune, habitée de vagues régulières et intenses. Son regard dans l'au-delà, son corps qui pousse son bébé vers la lumière. Il traverse son col, son bassin, il s’engage et elle s'ouvre comme une fleur. C’est intense, bouleversant. Elle perd pied mais reste pourtant là, bien ancrée. Elle se laisse élargir, sa tête apparaît, elle l’accompagne, il naît. Il sort vers les bras maternels. Il respire, il pleure, elle le regarde, émue comme jamais. Elle le prend dans ses bras, quelques vagues supplémentaires et le placenta viendra. Elle le regarde ramper et chercher à téter. Une famille est née. Et avec un peu d’aide parfois.

 

Pour la sage-femme, tout est là, discrètement ordonné dans nos mallettes de cuir ou dans les tiroirs de commodes joliment décorées. Au cas où…

 

Nos meilleurs outils resteront nos Sens.

Si tu écoutes bien cette femme que tu connais, tu comprends vite le sens d’un râle, d’un rire ou d’un cri

Si tu regardes bien cette femme que tu connais, tu percevras bien vite les traits de son visage qui froncent, qui lâchent, qui lissent

Si tu connectes ton odorat coutumier des naissances, tu humeras bien tôt les doux arômes suaves d’un bébé qui s’en vient

Si tu apposes tes mains contre cette peau familière, tu sentiras finement tensions et résistances, tout comme le moelleux de l’espoir retrouvé

 

Voilà en quelques mots ce que j’y ai appris.

Retrouver des savoirs ancestraux et traditionnels tout en utilisant la médicalisation à bon escient, comme un recours salutaire lorsque le contexte le nécessite.

L’usage de notre médecine en obstétrique n’est pas magique…personne ne sachant accoucher à la place d’une maman, elle est irremplaçable.

J’ai compris il y a longtemps que personne n’accouche personne.

Je ne fais pas d’accouchement.

J’accompagne les couples qui me le demandent dans leur enfantement, celui qui leur ressemble et je me fais toute petite. Puis je profite comme eux de ce nuage, sur lequel je plane littéralement quelques jours, me disant à chaque fois que je pourrais presque accepter de mourir maintenant que j’ai vécu cela.

En plus de 10 ans d’exercice j’ai pu prendre un recul important face aux protocoles « prêts à l’emploi » supposés contenir une vérité inébranlable et applicable à tous.

On ne peut exercer correctement sans prendre en considération l’unicité de chaque être humain et le fait que la science soit en perpétuelle évolution.

Si l’on offre aux femmes en santé les conditions favorables pour mettre au monde leur bébé, alors on est seulement amené à regarder et à sentir, avant d’intervenir.

Car d’une intervention, la danse de la naissance tellement millimétrée peut être déstabilisée. La nature est imparfaite mais elle a tout prévu. Les médicaments sont eux aussi imparfaits et tout de leur action n’a pas été prévu, n’a pas été prévenu.

Sortir d’une perception erronée de quelconque toute puissance.

Je souhaite faire preuve d’humilité. Admettre l’impuissance des humains à braver à tous prix les complications, la maladie et la mort envers et contre tout.

 

 

Accepter aussi notre condition d’êtres impermanents, au regard des animaux.

S’éloigner du patriarcat, de ses croyances, de ses injonctions qui veulent nous convaincre du contraire.

Se rappeler que la naissance est un processus sécuritaire, que nous sommes 7 milliards d’humains et que la médicalisation « qui sauvent des vies » n’est là que depuis 40 secondes à l’échelle des 24h que représente notre humanité.

 

Bon vous l’aurez compris l’esprit de synthèse n’est pas mon point fort… j’y travaille.

Je vous conte mon histoire car savoir d’où je viens et où je vais est un premier pas pour se choisir.

En 2020, je me suis cassée le nez ou plutôt le corps et le cœur, à travailler contre vents et marées tel qu’il me semblait juste.

Suivi de la grossesse : consultations longues durées pour un temps personnalisé, maman partenaire et bébé, chacun son attention de ma part sans compter.

Préparation à la naissance, en individuel, adapté au projet des parents, dans la plus grande écoute des peurs, des désirs et des pleurs.

Accompagnement de l’accouchement depuis les prémisses et jusqu’au retour à la maison les heures suivantes… sauf quand nous y étions déjà !

Et ce, toute seule, joignable H24 week end, noël, anniversaires inclus, ça va de soi.

Suivi du quotidien, maman, papa, bébé, 4 fois, 5 fois, 10 fois le premier mois viendra.

Rééducation du périnée quelques séances pour réparer mais surtout pour discuter dans ce temps postnatal si souvent synonyme d’isolement, de renoncement, de bouleversement.

L’allaitement et ses aléas animant fréquemment nos RDV, SMS, mails à toutes les heures du jour et de la nuit.

Répondre aux questions autour de la sphère gynécologique, de la contraception et de la sexualité : ouvrir les discussions, démêler les tabous, détrôner les croyances surtout.

J’ai consenti à ce rythme effréné ne trouvant pas la pédale de frein, ne sachant appuyer…

 

Je me suis régalée de ce petit cabinet chaud, doux et coloré. Rassasiée de ces milles relations qui ont pu s’y créer. De toutes ces femmes qui m’ont donné l’inestimable opportunité d’assister au miracle d’une vie nouvelle qui se fabrique, des premiers battements de cœur, d’un premier souffle sur terre, d’un regard sur le monde terrestre pour la toute première fois. Je mesure le précieux de ces instants uniques.

De tous ces petits êtres, tout neuf et délicats, rampant sur le sol puis de leurs petits pas, animant les pièces de leurs premiers babillements, me faisant sourire de leurs premières risettes. Etre témoin du fil de ces vies qui se tissent sous nos yeux, un honneur. J’ai été nourrit à satiété d’avoir tellement donné… d’avoir tellement reçu. Et pourtant je me suis effondrée, beaucoup trop épuisée.

Ma profession, ma passion, mon talon d’Achille aussi. Addict à l’ocytocine des naissances, accro aux endorphines, shootée à l’adrénaline, un peu trop…

 

Je me suis relevée. Parfois je distinguais à peine une petite lueur dans la tempête mais toujours là : même si je suis à terre, le monde de la périnatalité est toujours sur mon chemin.

Par la force des choses, j’ai été contrainte de déconstruire ce que j’avais mis des années à mettre sur pieds. Mais depuis tous ces mois, j’ai compris, j’ai grandi.

J’avais choisi d’être indépendante pour « gagner » ma liberté et je me suis trompée.

Je me suis réveillée et j’ai réalisé que je me sentais salariée du système, pieds et poings liés avec eux, obligée de céder, de remplir leurs papiers, d’être assez mal payée.

Trop de pression d’accompagner des naissances en solo, en France, à notre époque.

Et cette petite voix qui me chuchotait : soit prudente, fais attention, tu es attendue au tournant à la moindre petite maladresse. Ce qui ajoute une charge.

Etre tenue aux nombreux devoirs et barrières imposés par ma condition.

Toutes ces obligations… et tous ces obstacles… Je me suis rendue mal dans une profession en souffrance de la même façon que l’on peut souffrir dans une société malade. A ce demander si l’arrivée du point de rupture n’est pas un signe de bonne santé ?

Freinée dans ma créativité, coincée dans l’application parfois insensée des recommandations en vigueur devenues obsolètes, bloquée pour avancer, regardant s’éloigner mon désir de répondre présente pour des accouchements à domicile…

 

Je n’étais pas capable de mettre des limites aux patients, pas plus qu’à moi même.

Dire Non, tout simplement, avec douceur, et fermeté parfois, est un casse tête pour moi. Le besoin de reconnaissance a un prix qui est cher à payer.

Esclave d’une institution pensée pour le rendement, qui se moque du bien être, ne colle que des pansements.

 

L’épicentre du tremblement de terre a pourtant crié gare, mais plus facile d’écouter les autres que soit même.

J’ai voulu croire que toute crise apporte avec elle, au milieu des décombres, son lot de cadeaux. Comme une grossesse, j’ai eu besoin de ce portail de transformation pour faire naitre mon projet de renaissance. Je referme ce chapitre et en ouvre un nouveau, 1 an après ce tsunami que représente le burn out.

J’ai gagné en humilité. En écoute de soi. J’accepte que la passion ne vaille pas tous les sacrifices. J’accepte de ne pas convenir à tout le monde. Je regarde mes enfants avec amour, toujours, car les seules qui ont vraiment besoin de moi : ce sont eux.

J’accepte le deuil de ce cabinet et de cette activité si enrichissante par le passé.

Je conserve tous les précieux souvenirs, ceux qui m’ont fait vibrer, ceux qui raisonnent encore si fort pour en extraire l’essence et en garder le sens.

Je renonce à certaines envies quand ce n’est pas le moment.

Je cherche la résilience dans cette expérience extrême.

Je souris en contemplant ma gratitude d’être vivante.

J’aime peindre, modeler, créer toutes sortes de choses et ressens le besoin prégnant d’exprimer mon inventivité et de la mettre au service des femmes et de leurs familles ce qui est désormais compatible avec mon activité !

 

Je souhaite emmener avec moi des extraits de mon savoir de sage femme dans ma sacoche de doula.

J’embrasse ma nouvelle mission car le plus important pour moi est de prendre soin, de chérir les femmes, les mères et leurs bambins dans le respect de mon besoin de liberté : un habit sur mesure qui me couvre parfaitement.

 

Ma formation de Doula selon l’approche quantique m’ouvre enfin les portes de ce monde spirituel et sacré qui me tendait les bras, tout en gardant la dimension scientifique et l'autonomie de mon premier métier auxquelles je tiens.

 

 

Merci de m’avoir lu 

 

  la CléOfée

Doula

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